En librairies le 3 octobre 2025
Mark Simonetti, agent du FBI spécialiste en crimes littéraires, soupçonne Olga Simoneova d’être à la tête d’une structure de désinformation capable de faire chanter le président des États-Unis.
Vingt ans plus tôt, au début des années 2000, elle était étudiante en littérature à Columbia. En séduisant son professeur, spécialiste de l’œuvre de J. D. Salinger, elle avait réussi l’exploit de rencontrer, puis d’épouser l’écrivain. Résultat : tous les écrits inédits de Salinger, y compris la suite de L’attrape-cœurs, microfilmés, seraient passés à l’Est !
Cet étonnant roman d’espionnage, vif et court, d’une dérision désopilante, révèle enfin ce qu’on n’avait jamais réussi à savoir sur l’insaisissable Salinger ; et il dévoile pourquoi cet emblème de la rébellion a tellement secoué la psyché de millions de lecteurs, et de quelques détraqués…

Enrico Deaglio est né en 1947 à Turin. Au milieu des années 1970, après des études de médecine, il part pour Rome où il commence une carrière de journaliste d’investigation. De 1977 à 1982, il est rédacteur en chef du journal d’extrême gauche Lotta Continua, de 1985 à 1986 directeur du quotidien Reporter, puis de la revue le Diaro della settimana de 1997 à 2008. Il collabore toujours avec de nombreux titres. Il a signé une vingtaine de volumes, dont Patria, l’histoire sociale de l’Italie de 1969 à 2019, et La banalità del bene, la storia di Giorgio Perlasca, traduit en 2024 par les Éditions du Portrait (La banalité du bien, l’Histoire de Giorgio Perlasca). Après avoir vécu vingt ans à San Francisco, il s’est réinstallé à Turin
Traduit de l’italien par Nathalie Bauer
Couverture © Tylor Durand
Format 14 x21 | Prix 13,90 euros | 100 pages | ISBN | 9782371200 708 | Roman | Littérature